Vous pensiez qu’on allait lancer un thème noble, inspirant, porteur de grandes causes ? Raté.
Pour ce premier appel à textes, notre revue inutile mais parfaitement assumé s’attaque à la chaise bancale.
Oui, celle qui grince. Celle qui menace votre équilibre. Celle qui vous rappelle que rien dans la vie n’est totalement stable — surtout pas les meubles.
Envoyez vos textes avant le 30 septembre :
revueinutile@gmail.com

Nous voulons tout :
- des nouvelles tragiquement bancales
- des poèmes qui tiennent debout comme elles peuvent
- des réflexions pseudo-philosophiques sur la fragilité des assises
- des témoignages émouvants de repas gâchés par un pied trop court
- et pourquoi pas, des manifestes pour le droit au déséquilibre
Règles du jeu :
- Aucun format minimum ni maximum (le flou, c’est bien)
- Tous les styles sont acceptés : fiction, non-fiction, prose lyrique, recette de bricolage qui finit mal
- Les textes bancals dans la syntaxe, la logique ou la cohérence seront chaleureusement accueillis
Envoyez vos textes avant le 30 septembre :
revueinutile@gmail.com
La sélection se fera selon un critère clair : ça nous fera rire, soupirer, ou ça nous donnera envie de nous asseoir ailleurs.
Parce que dans un monde qui vacille, célébrer la chaise bancale est peut-être le geste le plus inutile, donc le plus nécessaire.
