On la connaît comme anesthésiant vétérinaire, on la croise parfois dans les récits de fête ou les rapports d’hôpital. Mais qu’on la prenne au premier ou au quarante-septième degré, la kétamine est surtout un mot qui intrigue, sonne bien, et promet toutes sortes de textes inutiles… donc nécessaires.

Envoyez vos textes avant le 30 septembre :

revueinutile@gmail.com


Nous attendons…

  • Des faux protocoles expérimentaux (effets secondaires sur les chaises pliantes)
  • Des poèmes très calmes, presque anesthésiés, écrits comme si le temps coulait au ralenti
  • Des récits absurdes de soirées qui ne savent plus si elles sont réelles ou pas
  • Des témoignages d’animaux de ferme sur leurs rêves post-injection
  • Des dialogues philosophiques où la kétamine répond à la caféine
  • Des études comparatives sur la densité poétique d’un texte « avant » et « après »

Les règles (aussi souples qu’un rêve prêt à dérailler):

  • Tous les styles acceptés : fiction, poésie, manifeste médical, compte rendu judiciaire
  • Longueur libre : du micro-texte façon flash au manuel complet de mésusage

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