Cher·es expert·es ès pâtes

Il est temps d’explorer l’insondable profondeur de la salade de pâtes. On vous en supplie déjà : ne nous parlez pas de la recette (sérieusement, c’est bien trop utile ?).

Mais…

La salade de pâtes est-elle un cri de révolte contre l’ordre cosmique ? Une métaphore de la vacuité de nos vies modernes ? Ou simplement une excuse pour manger des pâtes froides avec des tomates cerises ?


Envoyez vos textes avant le 31 janvier :

revueinutile@gmail.com


Nous vous invitons à réfléchir à tout cela :

  • La texture des pâtes : Symbole de notre fragilité, ou miroir de l’incohérence de nos vies ?
  • La température : Un acte de rébellion contre l’univers froid, ou juste une manière de survivre à la banalité ?
  • Les olives : Des messagers apocalyptiques ou de simples grains de sagesse oubliée ?
  • Les tomates cerises : Des éclats de lumière dans un monde terne, ou une illusion de fraîcheur dans le déclin ?
  • La vinaigrette : Le dernier rempart contre l’aridité de l’existence, ou une tentative désespérée de masquer le vide ?
  • Les pâtes froides : La marque de l’indifférence cosmique, ou un geste d’abandon face à notre propre vanité ?
  • Le basilic : Une rébellion verte contre la monotonie, ou un simple ornement pour cacher le néant ?
  • Le fromage râpé : Un luxe éphémère, ou une tentative de remplir le vide avec du goût ?

Chaque ingrédient, une métaphore de nos espoirs et de nos défaites.


Et nous on attend…

  • Des histoires de pâtes qui rêvent d’être transformées en gratin, mais qui n’osent pas le dire.
  • Des poèmes où le basilic est un prophète, et la mozzarella, un oracle.
  • Des réflexions sur la liberté des tomates cerises à s’échapper de leur destin de garniture.
  • Des récits poignants sur l’éternelle lutte entre la vinaigrette et le vent.
  • Des confessions émouvantes d’assiettes de pâtes qui se sont perdues en chemin et ne savent plus si elles sont froides ou chaudes.
  • Des tribunes passionnées sur la tyrannie des bouchées trop uniformes et la quête désespérée d’un assaisonnement qui les distingue.
  • Des tests psychologiques pour savoir si vous êtes plus « penne » ou « farfalle »

Tout ce qui pourrait remettre en cause l’équilibre précaire d’un monde gouverné par des ingrédients mal assortis.


Et alors comment on fait ?

  • Limite de longueur : juste assez pour faire lever un sourcil (trop court ou trop long, tout est permis, mais tout est discutable).
  • Les textes brumeux dans la syntaxe, l’orthographe, la logique, la cohérence etc. seront chaleureusement accueillis. En gros si on pige rien on prendra quand même au sérieux (enfin on va essayer, promis.)

Envoyez vos textes avant le 31 janvier :

revueinutile@gmail.com

La sélection se fera comme on mélange une bonne salade de pâtes : avec des couverts à salade, avec deux fourchettes ou bien même avec les mains.


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